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BIOGRAPHIE

Juan Habichuela Nieto appartient à l'une des dynasties du flamenco les plus importantes et les plus anciennes, celle qui vient de « Habichuela l'Ancien », et qui a brillé avec son grand-père Juan Habichuela.

À l'âge de 15 ans, Enrique Morente s'est arrêté chez Juan Torres Fajardo, aujourd'hui connu artistiquement sous le nom de « petit-fils » de Juan Habichuela, et lui a demandé de l'accompagner dans sa tournée en Amérique. «Je n'y croyais pas», avoue aujourd'hui ce jeune homme.
guitariste « À 15 ans, je jouais déjà à New York avec un des plus grands. »

Il a accompagné de grands artistes comme Enrique et EstrellaMorente, Pitingo, Lolita et Rosario Flores, Miguel Poveda, etc., mais c'est avec Enrique Morente qu'il a travaillé le plus intensément et avec lui il a commencé à développer son côté créatif, comme il pourrait le être vu dans le montage théâtral « Fedra » et dans certaines chansons de l'album « Pablo de Málaga ».

Ce voyage « a été définitif » pour établir une vocation qui avait commencé intensément à l'âge de 12 ans, au rythme de 11 heures par jour à la guitare, et qui a connu un bond important lorsqu'il a reçu le Bord d'Or au Festival de Las Minas. . La Unión 2011 (Murcie), décerné au meilleur instrumentiste.

Juan Habichuela Nieto est, et c'est pour cela que son grand-père a choisi son nom de scène, le petit-fils de Juan Carmona 'El Habichuela', un maître de la guitare flamenco et, selon les experts, le meilleur pour accompagner le chant.

Il a présenté seul plusieurs de ses spectacles tant au niveau national qu'international, avec un grand succès critique et public.

Il n’est pas étonnant qu’il reconnaisse que ce qu’il aime le plus, ce sont les concerts personnels puisque c’est là qu’il peut montrer tout son talent : « J’aime
faire chanter la guitare, en tirer toute son expressivité et la transmettre au public, comme s’il dansait avec elle.

Son inspiration, la trace des grands, qui sont ses références constantes : son grand-père Juan Carmona « el Habichuela », Sabicas, Niño Ricardo et, bien sûr,
Paco de Lucia.

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